Si le Hérisson se porte bien (pas de mouches, vif, se déplace), forme une belle boule ronde et n'a pas de blessures apparentes, laissez le sur place. Si le Hérisson a une forme plutôt ovale, s'il est blessé, est couvert d'œufs de mouches, ou s'il fait des bruits de respiration anormale, apportez le au centre de soins le plus proche ! Pour tout conseils de capture et de transport, veuillez vous référer à la rubrique 'Que faire ?' dans la partie 'J'ai trouvé un animal'

Mettez l'oiseau rapidement dans un carton fermé au chaud et attendez une à deux heures sans le déranger. Si tout se passe bien, l'oiseau reprendra ses esprits. Il suffira de le laisser s'envoler du carton ! Si au bout d'une à deux heures, l'oiseau ne s'envole pas, vole pas ou si ses ailes ne semblent pas symétriques, apportez le au centre de soins le plus proche ! Pour tout conseils de capture et de transport, veuillez vous référer à la rubrique 'Que faire ?' dans la partie 'J'ai trouvé un animal'

Si l'animal en détresse vous paraît agressif, appelez soit la brigade animalière des pompiers (18), soit la mairie de votre commune. Ils peuvent ensuite rapatrier l'animal dans un centre de soins .

C'est tout à fait normal de voir certains oisillons au sol sans savoir voler. Pour maximiser leurs chances de survie, ne le prenez pas sans l'avis professionnel d'un centre de soins. Si l'oiseau a encore son duvet ou est tout nu, et la commissure du bec jaune et très large : Il faut le remettre immédiatement dans le nid (sauf si blessure apparente). A cet âge, l'oisillon va avoir de très faibles chances de survie dans un milieu artificiel ! Si l'oiseau à des restes de duvets mais les plumes de vol qui commencent à sortir : Il faut le remettre immédiatement dans le nid ou dans les branches alentour (sauf si blessure apparente). Si l'oiseau est totalement plumé avec un résidu de duvet sur la tête : Il faut le laisser au sol, ou le déplacer sous un buisson dans un périmètre MAXIMUM de 20 mètres (sauf si blessure apparente). Il est en phase d'émancipation et doit rester au sol pour apprendre à se nourrir, fuir la prédation… S'il est prélevé de son environnement à cet âge, une fois remis sur place adulte, il ne saura rien faire et aura peu de chances de survie !

Les jeunes rapaces nocturnes sautent du nid sans être plumés, il faut les laisser sur place ou le déplacer dans un buisson dans un périmètre de 20 mètres MAXIMUM si la zone est à risque (sauf si blessure apparente). ATTENTION Les Chouettes effraies doivent être replacées immédiatement au nid ou emmenées dans un centre de soins ! Une fois sorti du nid, le jeune est condamné.

Détenir un animal sauvage est interdit par la loi. Si vous trouvez un animal en détresse, contactez un centre de soins ! Tout soin sur faune sauvage doit être effectué par des professionnels formés. Voici quelques risques de la prise en charge de faune sauvage chez un particulier : - Imprégnation - Problèmes de comportement (dépression, picage, agressivité) - Carences (fragilité des os, des plumes...) - Maladies Faites le bon choix, et appelez un centre de soins. La faune sauvage vous en remercie !

Apportez le directement au centre de soins le plus proche ! Attention, veillez à faire beaucoup de trous d'aérations dans le carton car les vapeurs du mazout sont dangereuses pour l'animal ! Surtout, n'essayez pas de laver l'animal ni de lui couper les plumes sales ! Le lavage d'un oiseau mazouté est un acte précis et rigoureux et doit ABSOLUMENT être fait par des professionnels ! Si vous coupez les plumes ou vous lavez l'oiseau vous-même, l'oiseau risque de ne plus être étanche ! Cela impactera ses chances de survie !

D'abord vérifiez l'âge du martinet en regardant ses ailes ! Si les plumes des ailes se croisent et dépassent la queue d'un minimum de 1 à 2 centimètres, il est sûrement en état de voler et vous pouvez procéder à l'étape suivante ! Si après conseil téléphonique et vérification visuelle des ailes, le martinet semble être un adulte, prenez le en main et essayez de le faire décoller en hauteur. Si tout se passe bien, le martinet pourra prendre son envol ! Si le martinet n'arrive pas à décoller ou qu'il a l'air blessé, mettez le dans un carton au calme et apportez le au centre de soins le plus proche. Si les plumes des ailes ne dépassent pas la queue et ne se croisent pas, le martinet est encore trop jeune et il faut l'apporter en centre de soins !

Envoyez votre lettre de motivation et votre CV à olivier.lambert@oniris-nantes.fr

La candidature pour devenir bénévole est soumise à la condition d’être majeur, pour des raisons de sécurité. Nous avons agrandi nos modalités de bénévolat, et à présent, nous proposons 3 types de bénévolat : - Premièrement, l’écovolontariat. Les bénévoles écovolontaires pourront prendre part à l’entretien des structures d’hospitalisation et de réhabilitation des animaux en soins, à la préparation et distribution des rations alimentaires, ainsi qu’à la préparation et l’administration des soins animaliers sous la supervision de l’équipe soignante du CVFSE. Il faut être disponible pour une période minimale de 15 jours consécutifs (environ 35h/semaine) avec 2 journées de repos par semaine, possiblement hors week-ends. Pour inscription, envoyer CV et lettre de motivation à Monsieur Olivier LAMBERT, directeur capacitaire du CVFSE : olivier.lambert@oniris-nantes.fr . Deuxièmement, le bénévolat polyvalent. Les bénévoles polyvalents pourront prendre part à l’entretien des structures d’activités du CVFSE (réparations, nettoyages, installations des structures d’hospitalisation et de réhabilitation des animaux ; nettoyages et rangement des structures des usagers telles que l’accueil, la salle de pause, etc…). Ils prendront part également à la préparation et à la distribution des rations alimentaires auprès des animaux. Il faut être disponible au minimum 1 semaine complète (5j/7, 35h environ) OU ponctuellement chaque semaine durant 2 mois minimum avec possibilité de venir à la journée (9h-17h avec pause déjeuner d’une heure), le matin (entre 9h et 14h) ou l’après-midi entre (14h et 18h). Pour inscription, envoyer CV et lettre de motivation à Monsieur Olivier LAMBERT, directeur capacitaire du CVFSE : olivier.lambert@oniris-nantes.fr . - Enfin, le bénévolat rapatrieur. Animé par la Ligue de Protection des Oiseaux de Loire-Atlantique (LPO 44), ce réseau a pour but de trouver des solutions de rapatriement d’animaux sauvages ayant besoin d’une prise en charge au CVFSE et ne pouvant être acheminés par les personnes les ayant secouru. Une alerte est lancée sur une application, et si le bénévole rapatrieur se trouve à proximité et a le temps pour prendre en charge l'animal, celui-ci prend contact avec la personne ayant recueilli l’animal pour organiser la prise en charge et le transport dans les meilleurs délais possibles. A noter que des relais entre bénévoles rapatrieurs peuvent se mettre en place pour faciliter les rapatriements les plus lointains sur le département. Pour s’inscrire à cette modalité de bénévolat, il faut prendre contact avec Monsieur Philippe BRISEMEUR, coordinateur en chef du Réseau Rapatrieurs : philippe.brisemeur@lpo.fr.

La candidature pour devenir bénévole est soumise à la condition d’être majeur, pour des raisons de sécurité.

Pour prendre des nouvelles d’un animal, vous pouvez nous envoyer un mail en précisant le numéro d'entrée de l'individu (sur votre carte de visite) à olivier.lambert@oniris-nantes.fr